Aujourd’hui
encore, l’église St-Aybert de Bléharies attire de
nombreux visiteurs intrigués par son architecture étrangement
moderne et à la fois déroutante. L’histoire
de sa construction a été fort heureusement racontée
dans un livre de Henri Delerive
et l’on peut trouver une explication détaillée de
sa symbolique dans une plaquette qui était disponible à
l’entrée de l’église il y a quelques
années,
ainsi que dans un article de J.L. Dubart
dans la Revue de la Fondation de Pévèle.
Massivité et solidité
Une première
approche de l’extérieur de l’église nous
livre une impression de massivité qui sera largement corrigée
lors de la découverte de l’intérieur du bâtiment.
(Ill.1)
Nous la voyons ancrée
sur une solide base composée de moellons de Tournai et de
pierres de Soignies taillées parmi lesquelles on remarque
aussi des pierres jaunes en provenance du Luxembourg.
Celles-ci illustrent déjà une
première fois l’intérêt marqué de
notre architecte pour la couleur,
intérêt qui deviendra une constante dans l’œuvre
de Lacoste.
Ce soubassement est
surmonté d’un niveau de briques vernissées
souligné par une ligne horizontale de petit granit.
A
partir de là, se développe un
haut pignon triangulaire ajouré de fenêtres verticales
portant chacune un agneau en grès céramé
polychrome. Les agneaux de cette frise sont présentés
devant des palmiers, qui nous rappellent à la fois l’origine
méditerranéenne du christianisme et l’intérêt
de Lacoste pour le monde de la Méditerranée
orientale, région où il
participera à des fouilles pendant toute sa vie. (Ill.2)
La même cohorte d’agneaux pascaux se retrouve sur la
façade arrière du chœur.
Le cortège de céramiques
fut réalisé sur des dessins de Paul
Petit par la Maison
Helman.
Il mène, tout là-haut, à une croix en forme de
PX, cet antique symbole du Christ (xhi et rau) déjà
adopté par l’empereur romain Constantin. Ce signe
retrouvera beaucoup de faveur après la 1ère
Guerre Mondiale, probablement à cause de sa ressemblance avec
le mot PAX dans notre écriture. (Ill.3)
Sous le triangle inférieur, Lacoste a
construit un auvent
qui abrite un lourd tympan de pierre
décoré d’une hostie crucifère et de deux
colombes de la paix. Ce travail massif de la pierre, clair rappel de
l’industrie principale de la région, se retrouve
également dans le monument Herman Planque à Allain, une
autre œuvre de notre architecte.
Par son illustration du thème du Bon
Pasteur et ses allusions à l’origine du christianisme,
la façade de St-Aybert nous montre
déjà combien Henry Lacoste basait ses projets sur une
véritable pensée
religieuse.
Trois autres éléments
attirent notre attention, côté façade.
Une surprenante chaire
de vérité extérieure
a été prévue par l’architecte Lacoste. On
trouve souvent cet élément architectural depuis le 13e
siècle en Bretagne, pour les bénédictions de la
mer, ainsi que dans les Vosges. Ne pourrait-on pas y voir aussi une
allusion à ce même phénomène, inachevé,
que l’on remarque sur la gauche de la façade de l’église
néo-romane des Pères Rédemptoristes à
Tournai? La chaire, à laquelle on accède par la tribune
de l’orgue n’a en réalité été
utilisée qu’une fois! (Ill.4)
Les deux lourds bénitiers qui
encadrent la porte nous rappellent également la Bretagne.
Autre
innovation: Henry Lacoste choisit de
construire un clocher séparé,
à droite de l’église, et se démarque ainsi
de la tradition fréquente dans nos régions, celle du
clocher porche. Celui-ci est d’une hauteur de 45 mètres,
sur une large base de pierre et béton armé, et est
rendu plus élancé par une longue ouverture
verticale qui comporte les abat-sons.
L’histoire nous rapporte que la charpente
fut réalisée par une firme de Paris, montée une
première fois là-bas, puis démontée,
transportée chez nous et rebâtie sur place. Cette
pratique du pré-montage en atelier
était courante: la firme Voisin à Tournai avait procédé
de la même manière pour la construction des charpentes
des tours de la Cathédrale.
Enfin, notre attention est nécessairement
attirée par les portes de bronze,
(Ill.5)
fidélité de Lacoste à l’art de la
ferronnerie qui avait fait la renommée de sa famille. Elles
portent clairement la mention du nom de la firme familiale. Au vu
d’autres éléments de décoration de
l’église, leur motif pourrait sans doute être
interprété comme les langues de feu de la Pentecôte.
Ample projet urbanistique
Avant de découvrir l’intérieur
de l’édifice, il est important de jeter un coup d’œil
à la place de Bléharies.
(Ill.
6)
Par sa formation à l’histoire de
l’architecture et par ses activités sur des chantiers de
fouilles en Grèce, déjà
dès avant la Guerre 14-18, Henry Lacoste aimait inscrire les
bâtiments qu’il concevait dans un contexte plus global
d’urbanisation.
Ses activités avec la Commission Dhuicque dans la zone des
combats, durant la guerre, lui avaient permis d’étudier
les centres de nos villes anciennes et d’effectuer de nombreux
relevés de monuments et édifices.
Dès la fin de la Grande Guerre, divers
mouvements se créèrent avec comme but de reconstituer
les centres des villes endommagées ou détruites. Ils
avaient nom «Adoption nationale»
ou «Haut Commissariat Royal aux
Régions Sinistrées».
Comme beaucoup de
communes du front de l’Escaut, Bléharies avait vu son
clocher dynamité et la nef de son église ébranlée
à l’occasion de la bataille de l’Escaut.
L’architecte provincial d’arrondissement Géo
Bariseau proposa de reconstruire tout le centre de la petite commune
et, en septembre 1919, Henry Lacoste fut désigné pour
concrétiser le projet. L’idée des autorités
communales et du bourgmestre Casimir Wilbaut était de faire de
Bléharies une ‘porte d’entrée’ dans
un Hainaut se relevant courageusement de ses ruines.
Notre architecte envisageait la création
d’un nouveau ‘forum’,
avec une place romantique et arborée, une église
accompagnée de son presbytère, une maison communale
rappelant nos traditions belges, un monument aux morts, divers
logements, une école, etc. Il s’était investi à
fond dans ce projet d’ensemble urbanistique. Les plans avaient
même été approuvés par le Roi Albert en
tournée en 1920 dans les régions sinistrées.
Malheureusement, le
bourgmestre ayant été remplacé par Albert
Pringalle, à la tête d’une autre majorité,
seule une partie du projet fut effectivement réalisée:
l’emplacement de l’église fut bien reculé
pour permettre de créer une véritable place publique,
l’église et son presbytère virent le jour, et la
maison communale fut construite. Cette dernière vient d’être
restaurée avec bonheur par les architectes Bruyère. En
réalité, Henry Lacoste avait été amené
à transformer un ancien bâtiment de style tournaisien,
comme on le voit clairement en observant l’autre côté
de la construction.
Le reste du projet ne
quitta pas les cartons de Lacoste. Les plans de l’église
furent simplifiés après des discussions difficiles. Le
projet de monument aux morts, pourtant bien visible sur les plans de
la place, fut refusé. Finalement, sur 40 maisons dessinées,
une seule sera construite. Voilà qui aide à comprendre
une certaine déception éprouvée par notre
architecte urbaniste, qui n’avait pas manqué de faire
visiter ses projets et son chantier aux sociétés
d’histoire de la région, comme le montre une photo de la
collection René Desclée! (Ill.7)
Elévation,
légèreté et joie intérieure
Tournons-nous maintenant vers l’intérieur de l’édifice
dont la construction fut finalement entamée en mai 1925.
Après le côté solidement ancré
dans le roc de l’extérieur, voici soudain
la légèreté, la luminosité, l’élévation
de l’âme. Le visiteur ne peut qu’être frappé
par les immenses arcs de béton qui amènent le regard
jusqu’au faîte du toit pour l’attirer ensuite vers
le chœur et son magnifique vitrail. (Ill.8)
Ces arcs de béton
séparés de 5 mètres correspondent à une
nouvelle technique qui apparaît en France à la fin du
19ème
siècle, notamment à St-Jean de Montmartre. Lacoste a
bien soin de les évider pour en accroître la légèreté.
Leur dimension est impressionnante pour l’époque (16m x
13m x 30cm). Cette ossature fut amenée directement de Paris et
son érection s’apparentait à un gigantesque jeu
de construction.
Selon
les heures de la journée, les
lucarnes du toit diffusent un éclairage changeant à
travers toute la large nef unique. Elles sont agrémentées
de nombreux vitraux
dessinés par Lacoste lui-même et réalisés
à Ixelles par le maître-verrier Paul Leclerc.
La rangée du haut consiste essentiellement en un jeu de
couleurs et de formes sur le thème de la résurrection,
tandis que la série du milieu rappelle inlassablement les
trois vertus théologales, la foi, l’espérance et
la charité.
Au niveau le plus accessible
depuis le sol, Henry Lacoste nous présente les sept
sacrements, plus trois vertus importantes pour le chrétien:
vigilance (Ill.9),
force et humilité. Ce thème est illustré de
manière concrète au moyen de l’image d’un
architecte, Lacoste reprenant ainsi une tradition ancienne où
l’artiste se représentait lui-même quelque part
dans son œuvre.
Les groupes de trois vitraux des murs de la nef
sont d’un style complémentaire. Paul Leclerc
y réalise une œuvre remarquable sur des dessins de Henry
Lacoste pour les quatorze stations du chemin de croix. (Ill.10)
Et nous voici amenés irrésistiblement
vers le point culminant de l’église Saint-Aybert, son
chœur.
On y accède par une grille en fer forgé qui représente
les symboles chrétiens du pain et du vin, au centre d’un
banc de communion en béton
décoré de filets de
mosaïque. (Ill.11)
Il
comporte de part et d’autre deux
tribunes rappelant les ambons antiques
qui séparaient les fidèles des officiants et servaient
aux lectures de l’épître et de l’évangile.
Deux autels latéraux de forme assez cubique sont dédiés
à la Vierge et à saint Aybert.
Oublions l’autel post-conciliaire actuel,
pour nous attacher à la forme du
maître-autel qui, par ses deux
parties séparées, fait clairement allusion à
l’autel de la cathédrale, avec sa table sarcophage et sa
partie monumentale, le buffet. Celle-ci est agrémentée
d’un superbe tabernacle nacré. L’autel est décoré
de chandeliers en cuivre repoussé dessinés par
l’architecte lui-même et réalisés par la
firme Provins de Ath. (Ill.
12-13)
D’ailleurs, tout dans l’église
a été dessiné par le concepteur Lacoste, depuis
le carrelage de la nef jusqu’à la curieuse chaire de
vérité aux formes géométriques nettes et
son abat-voix en mosaïque où l’on retrouve le thème
de l’Esprit Saint dispensateur de la parole de Dieu.
Elle résulte d’une collaboration avec le collègue
et ami de Henry Lacoste, Louis Madeline.
L’architecte crée également les lustres qui
suggèrent les langues de feu de la même Pentecôte,
qui descendent sur les fidèles, tout en rappelant par leur
forme les lampes orientales. (Ill.
14-15-16)
Le côté joyeux
et coloré de l’église
est souligné par les lambris en ciment poli, les peintures
murales dont Henry Lacoste était friand. Remarquons, par
exemple, à la base de la tribune de l’orgue, la citation
du psaume de la jubilation (le psaume 150), jubilation du chrétien
qui s’avance vers son salut et la rencontre avec son Dieu.
Au fond de l’église, près de
l’accès au clocher, une peinture murale, avec texte en
latin, nous explique en quelques lignes
l’histoire mouvementée des églises de la commune
de Bléharies. (Elle semble contenir une malencontreuse erreur
à propos du nom de l’évêque de Tournai qui
a consacré la nouvelle église. Elle cite un Mgr Vaast
comme évêque de Tournai, alors que de 1924 – 1939,
le siège de Tournai était occupé par Mgr
Gaston-Antoine Rasneur.) (Ill.17)
Encadrant le tabernacle, le vitrail
du chevet du chœur, avec sa
gradation depuis les couleurs sombres de la terre vers les teintes
célestes, nous propose une série d’anges au teint
méditerranéen. Chacun d’eux présente une
hostie, comme le fait le prêtre à la communion.
(Ill.
18-19)
Concession à l’art ancien
et à l’histoire, les stalles
conservées nous remémorent
les deux lieux de culte à l’origine de l’église
saint-Aybert. Ils étaient situés aux confins des terres
d’Empire et de France, et les miséricordes des anciennes
stalles avec leurs fleurs de lys et leurs aigles y font allusion.
En 1931-32, Lacoste fut également amené
à accepter un autre compromis avec l’histoire. Il
résultait de la découverte au monastère de
Crespin, en France, d’un sarcophage vide
qui avait abrité les restes de saint
Aybert, décédé
vers 1140. Le curé de l’époque aurait désiré
utiliser ce sarcophage comme table de l‘autel principal au lieu
de l’autel conçu par Henry Lacoste. Finalement, une
solution plus harmonieuse fut trouvée et la pierre fut placée
derrière le maître-autel, entourée de textes
explicatifs au lettrage typique de Lacoste et surmontée d’une
statue d’Aybert gisant, créée par le sculpteur
Debonnaires. (Ill.
20-21)
Cet épisode illustre assez bien la
vigilance constante qu’il a fallu et qu’il faudrait
toujours pour garder l’église de Bléharies dans
l’état voulu par son concepteur, qui était un
architecte « total », à la manière
de son illustre prédécesseur
Victor Horta. Lacoste se débattait déjà dès
le départ contre les changements intempestifs de mobilier et
l’adjonction de statues de tous goûts et styles.
Henry Lacoste et Bléharies
La question suivante vient souvent à
l’esprit des visiteurs de Saint-Aybert: Mais pourquoi donc une
église ‘Lacoste’ ici, à
Bléharies?
A l’époque
de la construction, le maître faisait déjà
construire sa maison personnelle à Auderghem et durant les
deux ans de travail, il vient habiter Bléharies quelque part
près de son chantier…
Bien sûr, sa famille était originaire
de la région de Tournai (Chercq et
puis Tournai même). Il était encore très attaché
à sa région natale, mais il n’avait que peu à
voir avec Bléharies.
Georges Bariseau, l’architecte provincial
d’arrondissement chargé de la reconstruction, était
actif à Tournai et le connaissait donc déjà. Il
n’était pas étonnant en
soi qu’il ait fait appel à lui après la guerre.
Mais il y a plus…
L’église à reconstruire
avait été érigée en 1772 en remplacement
d’une simple chapelle romane située plus près de
l’Escaut, dépendant de l’Abbaye de St-Amand et
payant décimes au Chapitre de Tournai. Elle était
entourée d’un cimetière qui avait fonctionné
jusqu’en 1895. Henry Lacoste en inclura la pierre de fondation
dans son panneau mural explicatif à l’entrée de
la nouvelle église, témoignant par là –
une fois de plus - de son intérêt et de son respect pour
l’histoire.
Le
bourgmestre en fonction à la fin de la guerre, Casimir Wilbaut
était apparenté par son mariage à la famille
Carbonnelle, dont était issue Claire,
la jeune épouse de Henry Lacoste. Rien de surprenant donc à
ce qu’il ait songé à Henry pour ce travail. Toute
sa vie durant, Henry Lacoste, homme de fidélité
familiale, continuera régulièrement à accepter
des commandes pour la famille Carbonnelle dans le Tournaisis. Après
la Grande Guerre, il restaurera également l’église
de Chercq, où se trouvaient les racines de ses propres
parents.
Son plus jeune beau-frère,
Gustave Carbonnelle, avait perdu la vie sur le champ de bataille de
l’Yser et Henry Lacoste avait préparé pour sa
sépulture provisoire une bien triste simple croix de bois.
(Ill.
22)
De cette période où il travaillait à
faire des relevés dans la région de la côte,
le Veurne Ambacht, datait certainement l’intérêt
pour les lieux de mémoire que sont les cimetières –
il en créera plusieurs plus tard, à Tournai et à
Lessines, – et également ce désir de reconstituer
les centres urbains dévastés. Il proposera même,
à la fin de la Seconde Guerre mondiale un splendide projet
d’urbanisme pour le Quai Dumon à Tournai, qui ne vit
jamais le jour.
Fidélité aux liens familiaux,
intérêt pour l’urbanisme, pour
les monuments en danger, autant d’éléments qui
firent qu’immanquablement Henry Lacoste devait se passionner
pour la proposition Bariseau.
La période correspond à l’émission
d’emprunts d’Etat en faveur des « régions
dévastées par la guerre » en Flandre et en
Hainaut, en vue de la reconstruction de centres urbains et d’églises,
et la reconstitution de mobilier liturgique. La Campine charbonnière
à l’est d’Anvers sera adjointe à la liste
plus tard et c’est ainsi, des années après
Bléharies, que nous retrouverons l’architecte Henry
Lacoste, en plus grande maturité, dans des projets à
Beringen et à Zwartberg.
Œuvre marquante d’un projet
urbanistique partiellement abouti
La fin de la construction se situe en septembre 1926 et les travaux
seront reçus en 1927. En octobre 1926 l’église
sera bénite par Mgr Rasneur. Des orgues Delmotte seront créées
et la dernière cloche fondue par Michiels de Tournai date de
1952.
Il aura fallu des années pour que le projet
aboutisse, depuis la désignation de
l’architecte en 1919, en passant par deux projets.
Le premier avant-projet comportait un léger
transept et une façade de type presque
éclectique, avec des gradins surmontés de boules, un
auvent en forme de cloche et un chœur arrondi.
Le projet de 1923 était plus simple et plus
dépouillé et s’inscrivait plus nettement dans les
mouvements architecturaux nouveaux, Bauhaus, modern style, art déco,
cubisme, art sacré de Maredsous.
L’église saint-Aybert de Bléharies est
rectangulaire, un peu plus courte que le projet initial (elle fait 16
mètres sur 25,50 mètres, soit la proportion du nombre
d’or, auquel Lacoste aimait se référer), et elle
possède un chevet plat. (Ill.
23-24-25)
Henry Lacoste dut encore modifier quelque peu la
flèche de la tour, avant que nous arrivions à l’édifice
actuel, qui, dès son ouverture, attira les foules de visiteurs
et que l’on découvre encore actuellement avec étonnement
et admiration.
L’ensemble de l’œuvre conçue
Henry Lacoste pour Bléharies, avec son église, son
presbytère et sa maison communale fait partie des ensembles
architecturaux les plus remarquables de
Wallonie. On se prend même à rêver à ce
qu’aurait pu devenir le forum envisagé par l’architecte
artiste si tout son projet avait pu être matérialisé.
Francis Vande Putte
Août 2008
Illustrations
1. L’église St-Aybert vue depuis la
Maison communale devenue Maison des Associations
2. Partie de la façade avec ses agneaux
3. Un agneau de Paul Petit
4. La chaire à prêcher extérieure
5. Bénitier et porte de bronze
6. Vue actuelle sur la place de Bléharies, avec la Maison
ex-communale restaurée
7. Henry Lacoste fait visiter son chantier par les membres de la
Société d’Histoire
8. La célèbre charpente
9. Vitrail de la Vigilance avec l’architecte
10. Vitraux du chemin de croix
11. Tribune de l’épître
12. Le Maître-autel et ses chandeliers
13. Le tabernacle nacré
14. Les carrelages de la nef
15. L’abat-voix de la chaire
16. La chaire de vérité
17. Peinture murale de la mémoire, en latin
18. Le vitrail du chœur
19. Une lampe
20. Miséricorde aux aigles
21. Sarcophage et statue de Saint Aybert
22. Croix de bois de Gustave Carbonnelle
23. Construction : les arcs se dressent
24. Construction de la nef
25. Construction du soubassement de la façade
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